Contact for the resource

Direction Régionale de l'Alimentation de l'Agriculture et de la Forêt d'Auvergne-Rhône-Alpes (DRAAF Auvergne-Rhône-Alpes)

192 record(s)
 
Domaines
Harvested
Provided by
Type of resources
Available actions
Topics
Contact for the resource
Provided by
Years
Formats
Representation types
Update frequencies
status
Service types
Scale
From 1 - 10 / 192
  • http://url.of.your.document

  • Il s'agit des surfaces pastorales à fonction spécialisée d'estive : Utilisation entre juin et octobre. Par définition une unité pastorale à fonction spécialisée d'estive a un gestionnaire pastoral (qu'il soit individuel ou de type collectif). 1 Unité Pastorale d’altitude à fonction spécialisée d’estive = 1 unité de gestion pastorale = 1 gestionnaire pastoral

  • Un périmètre de lutte obligatoire définit un territoire où des mesures de surveillance et de lutte contre la flavescence dorée de la vigne sont déterminées par arrêté préfectoral.

  • Au titre de la politique agricole commune pour le verdissement des aides, il a été mis en place des zones pour préserver les prairies dites sensibles. Ces zones sont des sites Natura 2000 et les îlots de prairies sensibles, sont les îlots déclarés à la PAC en 2014 avec des landes et parcours ou d'autres type de prairies permanentes.

  • Categories  

    Carte des îlots déclarés à la PAC 2015 analysés par groupe de cultures dominant et les 28 groupes de cultures.

  • Marchés à bestiaux (bovins, porcins, ovins/caprins, équins) et lieux de rassemblement d'animaux pour foires et concours

  • Le domicile professionnel administratif d'un cabinet vétérinaire correspond au lieu principal de l’établissement. Le cabinet vétérinaire peut avoir d'autres sites, alors dénommés domicile professionnel d'exercice. Les vétérinaires peuvent détenir une habilitation sanitaire (délivrée par la DDecPP) afin d'être désigné vétérinaire sanitaire par les détenteurs d'animaux pour la réalisation de missions permettant de garantir la santé publique vétérinaire. -- couche en cours de production, pouvant être amenée à être modifiée --

  • La cicadelle (Scaphoideus titanus) est un ravageur redouté des viticulteurs car elle est le vecteur de la flavescence dorée, une maladie de quarantaine qui peut entraîner l’arrachage de la parcelle La cicadelle peut être porteuse de l’agent pathogène de la flavescence dorée. Celui-ci se présente sous la forme d’un phytoplasme, agent biologique persistant qui provoque la mort du cep contaminé au bout de deux ans. Une larve devient vectrice en se nourrissant sur une vigne déjà malade. A partir de ce premier repas, le phytoplasme circule et se multiplie dans le corps de l’insecte qui devient lui-même infectieux au bout d’un mois. A partir de ce moment, il le demeure et peut contaminer d’autres pieds de vigne à chaque prise de nourriture. La cicadelle est considéré comme étant inféodé à la vigne sur laquelle elle accomplit tout son cycle. Les larves et l’adulte se nourrissent de sève par piqûre de la face inférieure des nervures des feuilles. Il s'agit ici des données de comptage du nombre cumulé de cicadelle adultes observés durant la campagne viticole 2022 en différents points du vignoble dans la région. Si le comptage a bien commencé par celui des larves, seules les données de comptage des adultes sont retenues. Du fait de la gravité de la maladie et de son impact économique, la lutte est obligatoire dans les vignobles où elle est identifiée. Elle comprend différents volets : Mesures prophylactiques : brûlage des bois de taille, épamprage, élimination des ceps malades, des vignes abandonnées et des repousses de vignes sauvages. Mesures réglementaires : arrêtés ministériels définissant les traitements obligatoires pour la protection du matériel de plantation (pépinières) et pour celle des vignobles. Lutte chimique : elle consiste à combattre la cicadelle vectrice en appliquant un programme de 2 à 3 traitements couvrant la période d’activité de l’insecte (un mois après les premières éclosions jusqu’à l’été). Lutte biologique : des recherches sont en cours, en particulier sur l’utilisation d’ennemis naturels, prédateurs ou parasitoïdes.

  • Estimer le potentiel de rendement d’une terre pour améliorer sa valorisation et préserver le foncier agricole Le potentiel agronomique est comparable à la fertilité des sols. Il s’agit d’un potentiel de rendement des terres estimé à partir d’une combinaison de paramètres pédologiques. Il est évalué pour partie au niveau de la surface du sol (sensibilité à la battance) et pour partie sur la profondeur d’enracinement maximale (réservoir en eau utile, hydromorphie), avec pour production de référence les grandes cultures (céréales à paille et maïs). Il est divisé en 9 classes en fonction de deux variables : - Les trois classes de réservoir en eau utile maximal du sol (RUM) ; - Le dénombrement des contraintes présentes parmi l’hydromorphie et la sensibilité à la battance (présence d’une, de deux ou absence de contrainte). • Niveau d’utilisation de la carte : échelle régionale 1/ 250 000  cette cartographie n’est pas transposable pour une utilisation directe à l’échelle de la parcelle. • Confronter la carte de potentiel agronomique au sein des Unités Cartographiques de Sol (UCS) à la carte de pureté associée : les incertitudes du paramètre affiché ne sont pas renseignées suite à l’agrégation au niveau des UCS. Les UCS représentées sur la carte sont celles dont la surface cumulée des UTS de la classe dominante est supérieure à 50% de la surface des UCS (soit plus de 85% des UCS exploitables). • Toujours se référer à la base de données détaillées au niveau des UTS afin d’identifier les valeurs des différents paramètres combinés au niveau des UTS pour estimer le potentiel agronomique, faire des observations sur le terrain, et compléter les observations par d’autres types de données sur la zone prospectée dès que possible (outils Refersols et Applicasol sur le site internet du GisSol). Remarques complémentaires : • Dans cette étude, le « potentiel agronomique » est à distinguer de la « valeur agronomique » car la valeur agronomique n’est pas estimée et nécessite une étude supplémentaire. En effet, c’est une valeur monétaire passant par l’évaluation du potentiel agronomique des terres, et également par la définition de seuils spécifiques à chaque culture ou production pour les paramètres pédologiques utilisés.